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Culture Jeune :

La culture jeune ne balaye pas Montand, Druon, Bardot, Marchais, elle leur ajoute Madonna, Coluche, le Top 50, Microsoft, les jeux vidéos, le hip-hop, le skate, qui vont prendre l'ascendant. Il faut désormais être cool et dynamique, il faut porter du street-wear, il faut être fun, le cheveu long fait partie du paysage, un nouveau langage, avec du franglais, avec les mots «branché», «super», «top», entre dans le dictionnaire : être jeune ne sera plus une question d'âge, la jeunesse sera un diktat, une gloire.

lundi 24 janvier 2011

Les differentes cultures Jeune : un peu d'histoire...

Les années 90-2000 : L'amère victoire

La crédibilité de la rue: la montée du Hip-Hop

Et le hip-hop devint le référent numero un de la jeunesse mondiale... Il faut adopter tous les codes, vestimentaires, culturels, du rap.
La soul et la Funk, dans les années 60 et 70, n'ont pas généré une culture jeune globale. Elles restaient largement ghettoïsées, produites par des Noirs pour un public majoritairement noir.
Le hip-hop change la donne. Il a pris son envol dans les années 80, il triopmhe dans les années 90, aux Etats-Unis, en France, en Occident.
A soul et la funk étaient percues dans les sixties-seventies par les jeunes Blancs comme des musiques cool, mais plutot pittoresques. Probleme d'identification, d'emprunt. Pas facile d'adopter une coiffure afro pour un blanc-bec. Par contre, le pittoresque du hip-hop, les fringues de basket larges, la casquette, le langage qui claque, yo man, les blancs, à la fin des eighties, se l'accaparent, et le globalisent sans vergogne et sans peur du ridicule.


Le look Hip Hop. Non, non, le ridicule ne tue pas.

A la fin des années 80, les Beastie Boy amènent tout un public de jeunes Blancs au Rap. Une réelle post-contre-culture. Ils montrent à la nouvelle génération MTV que culture skate et hip hop sont faits pour toper ensmeble.
Il y a eu un mouveùment hip-hop où le mot cool, sans pour autant être représenté par un symphatique bouffon comme Hammer, ne renvoyait pas obligatoirement à gangsta. Le « daisy age ». Là, le mot cool renvoie plus aux messages sixties, aux jazzmen, aux hippies engagés. Des groupes comme De La Soul, les Jungle Brothers, puis A Tribe Called Quest, Arrested Development enrengistrent au tournant des annés 80 et 90 des albums inventifs, parfois écolos, rarement tronituants. Mais les messages de ces groupes sont trop cool pour qu'ils puissent véritablement décrocher un leadership médiatique.
Ce leadership, qui définit la culture jeune Occident, atterit plutot dans les pognes remplies de bagousse de Puff Daddy, du Wu-Tang Clan ou de l'inusable Dr Dre.


Dr Dre, le rappeur qui a remède à tout. 


Un clip de 2 rappeurs américains.


Grace à Solaar, un jeune immigré qui présente bien, le rap devient énorme en France.
La communauté afro-américaine, très importante aux Etats-Unis, à toujours eu sa musique, blues, rythm'n'blues, soul, funk, puis hip-hop.
A La fin des années 90, la France est devenue pour le rap le deuxieme marché mondial, derriere les Etats-Unis, devant l'Angleterre, l'Allemagne, l'Espagne. Il y a la quantité, mais la qualité, non. Impossible de comparer Snoop Dogg avec Stomy Bugsy.

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